En cliquant sur l'image ci-dessus vous découvrirez la méditation quotidienne du calendrier " La Bonne Semence"; l'occasion de réfléchir à partir de quelques versets de la Bible.
Dans le jardin d'Éden, le Seigneur avertit Ève après la chute de l'homme : «J'augmenterai la souffrance de tes grossesses et tu enfanteras avec douleur» - Genèse chapitre 3 verset 16. Au verset 17 « Cest à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie».
L'origine de la souffrance que nous connaissons est due à la désobéissance de l'homme qui a entraîné sa chute. Dés le début de l'ère de l'humanité d'Adam, on constate que la souffrance gouverne la vie de chaque homme et de chaque femme : Génèse chapitre 4 CaÏn et Abel et le chapitre 6 dressent un tableau misérable de la condition humaine. « Le Seigneur se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre et il fut affligé en son coeur ».
Ce mal parmi les hommes n'était pas un mal nécessaire car Dieu a rendu l'homme responsable de la conduite de sa vie donc de la souffrance qui émane de sa continuelle désobéissance aux principes établis par Dieu.
Mais Dieu n'a pas voulu laisser l'être humain assumer toutes les conséquences de ses choix ; il a envoyé vivre parmi nous son propre Fils et a voulu que Celui-ci supporte la condamnation que les actions de l'homme méritaient.
Le chapitre 53 verset 4 d'Ésaïe affirme que ce sont nos souffrances qu'il a portées.
Le fait que Jésus-Christ ait porté nos souffrances et nos maladies en souffrant sur la croix n'est pas un fait toujours vérifiable dans l'existence du chrétien qui doit l'accepter par la foi mais qui
continue à vivre avec ses limites et ses souffrances.
Que pouvons nous donc attendre de notre Dieu ? Le fait de croire que Jésus est mort pour nos fautes pour que nous ayons la paix avec Dieu nous apporte une paix
intérieure et un sentiment profond de la présence de Dieu dans notre vie. Plus rien n'est pareil !
L'épitre aux Romains affirme que « Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu» chapitre 8 verset 28.
ST, 10 avril 2022
Hébreux chapitre 4 verset 3 « pour nous qui avons cru, nous entrons dans le repos »
Ce monde ne nous procure pas de repos : soucis de toutes sortes, déceptions parfois cruelles.
Mais Dieu a prévu un repos de l’âme qui surmonte toutes nos peines. Ce repos, Il l’a expérimenté lui-même lors du septième jour de la création : livre de la Genèse chapitre 2 verset 2 « Dieu acheva
au septième jour son œuvre, qu’il avait faite ; et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu’il avait faite. »
Notre Dieu veut que tout homme bénéficie de ce repos. Hébreux chapitre 4 verset 9 « il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu. » Pour que cela devienne réalité chez l’homme, il faut
que l’homme se rapproche de Dieu, en croyant en celui qu’il a envoyé : Jésus-Christ.
Évangile selon Jean chapitre 3 verset 16 : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » Le repos de
Dieu est lié à la vie éternelle.
Pour le chrétien d’aujourd’hui qui a cru en Jésus, le chapitre 4 du livre des Hébreux avertit que pour rester dans ce repos et en profiter pleinement, il lui faut rester attachés à Jésus-Christ par l’obéissance à ce que nous avons compris de lui et la prière. S’il n’y a pas de place dans le Nouveau Testament pour la perte du salut en Jésus-Christ, en revanche, il est possible pour le chrétien négligent de perdre certains privilèges dont la plénitude du repos de Dieu – verset 14 « demeurons ferme dans la foi que nous professons ».
ST 9 mars 2022
L’homme ou la femme, se convertit à Jésus-Christ parce qu’il/elle a pris conscience de son péché et il/elle le lui dit dans la prière et désire en être délivré.
Ensuite il faut vivre avec notre Seigneur, rester près du Seigneur par la lecture de sa Parole et la prière.
Apprendre à dialoguer avec notre Seigneur : prendre du temps seul avec lui, mais aussi quand on se promène seul (avec lui), prier même si nous sommes seuls (un endroit non fréquenté par le public)
Lire régulièrement la Parole de Dieu, c’est laisser son enseignement imprégner nos pensées, corriger nos pensées déviantes, rectifier nos attitudes fausses.
Par exemple, nous vivons tous en étant persuadés que le Seigneur pardonnera nos petites fautes et erreurs de jugement mais la patience du Seigneur ne doit pas nous conduire à l’insouciance ou à la légèreté dans nos actions en pratiquant de « petits mensonges ».
Chercher à le connaître au travers de sa parole de ses réactions, de ses enseignements Jean 14 versets 8 et 9 « Il y a si longtemps que je suis avec vous et tu ne m’as pas connu, Philippe » répond le Seigneur à Philippe qui le questionne au sujet de son identité. Philippe n’avait pas pris suffisamment pris soin de connaître notre Seigneur.
Aujourd’hui, nous sommes appelés à connaître notre Seigneur Jésus par la méditation de la Parole et par la prière.
S.T. 13 février 2022
- Faire un court bilan de l’année écoulée;
- Rappeler les promesses sur lesquels nous nous étions appuyés;
- Prier pour les engagements à prendre.
1. Un court bilan de l’année écoulée
Nous pouvons être désolés de n’avoir pu accomplir tous les engagements pris mais nous ne devons pas laisser le découragement nous envahir. N’oublions jamais de remercier notre Dieu de nous avoir
sauvés et donné la vie éternelle, même si nous avons la conscience chargée, car notre Dieu apprécie que nous le remercions pour ce qu’il nous a donné et que nous ayons, en tout temps,une attitude de
reconnaissance. Psame 50 verset 14: «Offre pour sacrifice à Dieu des actions de grâce, et accomplis tes vœux envers le Très-Haut, et invoque moi au jour de la détresse; je te délivrerai, et tu me
glorifieras».
2. Rappeler les promesses sur lesquelles nous nous sommes appuyés
Peut-être n’en avons-nous pas oubliées. Ayons une attitude positive. Remercions encore notre Seigneur pour ce qui a marché.
Souvenons-nous que sans Jésus à nos côtés, nous ne pouvons rien faire. Rappelons-lui les engagements que nous n’avons pas tenus et que nous aurions aimé accomplir et demandons-lui de nous assister
particulièrement l’an prochain.
3. Prier pour les engagements à prendre pour l’année à venir
Il n’est pas malsain de prendre des engagements mesurés sachant que, même bon chrétien, nous ne sommes pas maîtres de nos pensées et de nos actions. On peut noter que la Parole de Dieu n’emploie
jamais ce terme pour nous inviter à nous améliorer et faire des progrès. L’apôtre Paul préfère recommander de veiller sur nos agissements afin de marcher de progrès en progrès, épitre aux Éphésiens
chapitres 4, 5 et 6. Certaines recommandations pourraient donner lieu a des engagements: épitre aux Philippiens chapitre 2 verset 2 «Rendez ma joie parfaite…» et au chapitre 3 de la même épitre: «Au
reste, mes frères, réjouissez vous dans le Seigneur…». Cependant, il semble préférable d’émettre des souhaits et de réserver les engagements aux actions qui dépendent de notre entière volonté plutôt
que de prendre des engagements que nous risquons fort de ne point tenir.
Engagements et vœux sont des notions équivalentes ou très proches. Or, la Parole de Dieu nous invite à la prudence: Ecclésiaste chapitre 5 verset 5 «Mieux vaut pour toi ne point faire de voeu, que
d'en faire un et de ne pas l'accomplir.»
Mais il n’est pas interdit d’émettre des souhaits en priant que notre Seigneur nous aide à les réaliser, nous humilier et nous repentir pour ceux que nous n’avons pu réaliser. En priant ainsi, nous nous tenons devant notre Dieu dans une attitude d’humilité, et lui montrant en même temps notre désir d’avancer dans la sainteté.
ST, le 17 janvier 2022